top of page

Janvier: place à la douceur


Aujourd’hui, j’ai envie de te parler de douceur car c’est ce qui me fait sourire le cœur et l’Oracle de l’Alchimiste de l’être m’y invite à chaque rencontre depuis qu’il est en vente.

La douceur envers soi, c’est de regarder ces émotions plus lourdes quand elles se présentent, y être attentif et se dire que c’est ok de les ressentir.

On a le droit de se sentir triste, en colère, frustré, seul, perdu, en manque, abandonné, humilié, las de tout, désespéré, d’avoir peur,…


Arriver à identifier l'émotion dans son corps, ses symptômes (difficile à respirer, gorge nouée, nausée, épaules lourdes, jambes coupées, froid, mal de tête, cœur serré, …), pour aller ensuite y amener sa respiration en conscience (imaginer qu’on respire dans la zone) tout en le répétant à voix haute.


Par exemple : « Je suis en colère », « Je suis en colère », « Je suis en colère », « Je suis en colère »...

Là, quelque chose de subtil se passe.

L’intensité diminue au fur et à mesure des répétitions respiration/formulation.

Cela se transforme alors « Je suis un petit peu en colère »,…

Pour enfin s’atténuer et laisser un sentiment de calme en dedans.

C’est plus doux.

L’émotion passe sans s’ancrer dans les cellules car elle a été écoutée.

La douceur envers soi c’est aussi d’écouter ses besoins, ses envies et ce qui ne résonne plus.

En prendre conscience au milieu des demandes extérieures et des automatismes

  • Qu’est-ce qui m’appartient, qu’est-ce qui est à l’autre ?

  • Est-ce de l’habitude, de la logique ou vraiment ce que je veux faire ou être ?

  • Est-ce équitable ?

  • Est-ce écologique pour moi ?

  • Quelle serait l’alternative ?


On s’imagine souvent que c’est blanc ou noir, genre « Je fais ou j’arrête », ce qui évidement crée un conflit intérieur et souvent extérieur car ce gros changement crée de l’incompréhension.

Je te propose ici d'utiliser l’image du bouton de volume que l’on tourne dans un sens ou l’autre.


Que peux-tu diminuer pour adoucir l’effet des conséquences ? (la fréquence, la durée, l’intensité)

Comment exprimer le pourquoi en « je » à l’autre, et expliquer que c’est pour toi et pas contre lui/elle?

Comment peux-tu le dire avec le cœur, comme toi tu aimerais l’entendre ?


Tout changement est inconfortable mais cela peut se faire en empathie ET dans le respect de chacun.

Maintenant, on n’est pas au pays des bisounours (du moins, il paraît).

Ceci crée un inconfort chez soi ET chez l’autre.

Notre partie, ce que l'on partage et ressens, c'est notre responsabilité.

On ne peut pas envisager tous les scénarios de l’autre, ni ses réactions.

Viennent alors toquer nos peurs : peur de décevoir, peur du rejet, peur de l’abandon… peur de ne pas être aimé.

Quel serait mon moins pire dans ce cas ?

Ce que je vis maintenant où je ne me sens pas bien et où j’étouffe, ou que l’autre risque de ne pas comprendre ou accepter ?

Qu’est-ce que je risque de perdre et qu’est-ce que cela dit de la relation, de moi, de l’autre ?

Et si cela se passait bien ?


Je me rends compte que ce sujet amène des tas de réflexions et pistes d’exploration de soi (blessures d’enfance, croyances, vision du monde que l’on s’est crée par la force des choses de la vie,...).



Que ce soit en coaching, en soin ou en atelier, je vais t’inviter à aller mettre de la douceur en toi. Par exemple en t’offrant une autre lecture des choses, en te massant, t’invitant à des voyages intérieurs ou te proposant des exercices pratiques à faire de ton coté.

La douceur fait partie de moi, c’est dans mon package de naissance, même si je l’ai ignorée pendant 90% de ma vie quand il s’agissait de me l’adresser. J’étais le pire juge envers moi alors la douceur, que nenni !

Pourtant je constate aujourd’hui qu’elle s’est bien réinstallée, au fur et à mesure de mon cheminement, de mes guérisons, guidée par d’autres praticiens.


C’est aussi au centre du retour que me font mes clients et clientes :


« personne n’a autant pris soin de moi »,

« merci pour cette bulle de douceur »,

« merci pour tout ce que tu donnes »,

« on sent qu’il y a beaucoup d’amour dans ce que tu fais ».


Qui a dit qu’un adulte, homme ou femme, ne pouvait plus être bercé, lové, traité avec douceur et sans malentendus, juste recevoir comme l’enfant que l’on a été aurait aimé recevoir ou comme l’on chérit ses enfants ?

Selon moi, et je terminerai par cela, la douceur nous colore de l’intérieur, elle guérit et apaise l’âme.

Pour ce début janvier, je t’envoie donc une brise de douceur pour te donner l’élan d’aller vers ce qui t’inspire.

Et quand cela fera écho, je t’invite à prendre rendez-vous pour un soin Tribal Body Work ou un massage du dos afin de te connecter à elle, dans cette bulle qui te sera unique.

Si tu sens que cela serait exactement ce dont un proche a besoin, tu peux lui partager cette newsletter ou mes infos.


C'est ensemble que l'on pourra amener de la douceur sur le monde !

 

Mes services

Liens vers les soins


bottom of page